Dans un premier temps, nous allons parler du féminisme radical et démonter quelques absurdités qu’il promeut. Ensuite, nous verrons comment le système se sert des féministes radicales pour manipuler la population en la culpabilisant. Et enfin, pourquoi nous allons droit vers la dévirilisation la plus complète de l’homme. C’est parti pour cet article sur le féminisme extrémiste !
Cet article fait suite à mon article sur la place du mâle alpha dans les sociétés humaines.
Un petit point définition d’abord pour ne pas mal me faire comprendre : les féministes radicales (ou extrémistes) sont celles qui veulent non pas atteindre une équité hommes-femmes mais qui souhaitent écraser et humilier les hommes au nom d’une vengeance des injustices passées.
Une féministe radicale combattant pour le droit de ne pas s’épiler les aisselles. Qu’est-ce qu’on en a à foutre, sérieux ? Je suis pour le droit à l’avortement, pour le droit de vote des femmes, pour la liberté sexuelle des femmes… mais, certains combats dits « féministes » me laissent perplexe. Qu’elle s’épile comme elle l’entend mais qu’elle ne m’oblige pas à avoir envie d’elle si ça ne me plaît pas…
L’origine des différences sexuelles
Vous le savez si vous avez lu mon livre sur la psychologie évolutionniste : en comparaison d’un ovule, gros, rare et cher, des milliards de spermatozoïdes n’ont presque aucune valeur.
En une année, un homme peut féconder des centaines de femmes, une femme ne peut procréer qu’une fois. Ce fait est l’origine des différences de traitement entre les sexes.
Le comportement sexuel de l’homme « mort de faim »
La rareté de l’ovule confère à l’acte sexuel féminin une grande valeur, du moins émotionnellement parlant, puisque le fait de mettre une capote ou de prendre la pilule annule quasiment les risques de grossesses mais pas les décharges d’hormones dans le cerveau.
L’homme est toujours plus demandeur, plus entreprenant, moins regardant que la femme du fait de son objectif de répandre au maximum son patrimoine génétique. A l’inverse, la femme cherche surtout le meilleur parti pour la survivance de ses gènes. « L’existence d’un certain choix de la part de la femelle paraît être une loi aussi générale que l’ardeur du mâle », disait Darwin.
La femme fait de son ovule un trophée qu’elle offre à celui qui gagnera la compétition entre mâles reproducteurs. C’est pour cela, par exemple, que nous autres, pauvres mâles, payons 20€ notre entrée en boîte tandis que les femmes rentrent gratuitement et se font offrir le champagne. Puisque le consentement de la femme vaut cher, tout le monde trouve normal que ce soit à l’homme de séduire et de payer.
Personnellement je suis pour la liberté sexuelle de la femme, pour la fin de la pression sociale qui dit qu’une femme qui prend son pied est une pute, pour que les femmes abordent les hommes… vous le savez si vous me lisez depuis longtemps. En cela, j’ai un côté féministe, sans doute. Je souhaite une réelle égalité hommes-femmes mais pas que ma condition d’homme soit une raison pour me faire payer plus cher mes sorties, par exemple (si c’était que ça). Surtout que tous les hommes ne sont pas égaux devant cette sélection sexuelle.
Le statut social, par exemple, confère de la valeur à la semence masculine, à tel point que l’homme de pouvoir n’a généralement rien à payer pour coucher. C’est pour cela que je vous conseille de toujours vous comporter en mâle alpha, pour communiquer non-verbalement que vous avez un statut ou une grande valeur et donc coucher plus facilement. Ça vous aidera à avoir une vie sexuelle épanouie !
Instinct maternel et jalousie chez les humains et les autres animaux
Les féministes radicales sont persuadées que les choix de partenaires sont culturels, qu’elles sont victimes du patriarcat, conditionnées par la société masculine. Elles voudraient choisir et être choisies sur d’autres critères… Mais tous les mammifères font la même chose : les mâles choisissent un physique, les femelles un rang social ou des bons gènes. Rien ne sert d’essayer de changer des instincts vieux comme le monde, déterminés par notre biologie.
La rareté de l’ovule explique que les mammifères femelles s’investissent plus que les mâles dans leur progéniture : elles ne peuvent pas mettre leur précieux œuf dans plusieurs paniers, donc elles le couvent avec jalousie. Cependant, les féministes radicales, au nom de l’émancipation de la femme, aimeraient que leurs semblables s’occupent moins des enfants… ou du moins, pas plus que les hommes. Cela irait dans le sens de l’égalité mais pas dans celui de nos instincts !
Même la jalousie est une question d’ovule. L’homme moyen sera plus jaloux s’il apprend que sa femme couche avec un autre plutôt que si elle en tombe amoureuse mais ne couche pas avec. La femme, elle, sera plus jalouse si son homme tombe amoureux d’une autre : on risquerait de lui voler son investisseur… J’en avais parlé dans mon article sur la jalousie. Ca aussi, ça fait chier les féministes radiales puisqu’elles voudraient que nous soyons identiquement jaloux (sauf les lesbiennes, c’est-à-dire une bonne partie des féministes radicales, qui n’en ont rien à foutre de la sexualité des hommes) !
La culture du viol
La notion de « culture du viol » est une traduction littérale de l’expression anglaise rape culture, que l’on doit aux féministes américaines des années 1970.
La « culture du viol » c’est un concept qui dit que le viol n’est pas assez reconnu ou puni dans la société.
Les féministes extrémistes ont d’abord pensé que le viol était un scandaleux symbole de la domination masculine. Mais en fait, on s’aperçoit que dans toutes les cultures ou presque, le viol est réprimé avec la plus grande fermeté.
Puis, elles ont voulu répandre l’idée qu’il existe de manière problématique dans nos cultures occidentales parce qu’il y est trop peu puni (ce serait la faute du christianisme, entre autres).
Les mythes de la culture du viol
Le combat contre la culture du viol, mené par les féministes radicales, consiste en détruire certains mythes. Analysons-les ensemble et voyons si j’ai bien compris :
– le violeur est toujours un inconnu : ça c’est vrai que c’est un mythe. Les statistiques montrent que la victime connait souvent son agresseur et pire, que la menace se situe souvent plus près qu’on ne le croit, au sein de notre famille.
– la victime a eu un comportement à risque : comme, par exemple, se balader nue dans une ruelle sombre d’un mauvais quartier. Il est inadmissible de dire qu’une fille qui s’est faite violer l’a bien cherché et je suis bien d’accord avec ça : personne ne mérite de se faire violer, peu importe sa tenue. Par contre, dommage qu’il soit tabou de dire que si un homme faisait la même chose, il lui serait vraisemblablement arrivé des problèmes aussi. Plusieurs de mes potes et moi-même avons été agressés dans la rue et la justice n’a pas donné suite… ce n’est pas un traitement réservé aux femmes. Certes, viols et agressions non-sexuelles ne sont pas la même chose, mais c’est pour dire que chaque sexe peut avoir son lot d’ennuis.
– la société pense que la victime exagère toujours les faits ou ment : je suis d’accord pour dire que c’est dégueulasse… mais on est quand même en droit de se demander si ça n’arrive jamais. La justice se doit d’être neutre et pragmatique.
– la victime a consenti puis a regretté : on est également en droit de se demander si ça n’arrive jamais.
– seules les femmes sont violées : cette idée se base sur l’idée que les femmes, ces êtres si purs et innocents, seraient les seules à pouvoir contrôler leur désir sexuel, contrairement aux hommes qui ont « toujours envie », ces gros porcs ! C’est évidemment FAUX.
La France et la culture du viol
En France, le viol est réprimé depuis 1810. Il est devenu un crime puni de 15 ans de réclusion criminelle en 1980. Depuis 2010, la relation conjugale ne bénéficie plus au prévenu accusé d’avoir violé son conjoint. Le statut de conjoint, de partenaire civil ou de concubin de la victime étant même une circonstance aggravante depuis 2006.
« De 13 881 cas signalés et transmis à la justice en 2015, ces infractions sont passées à 15 848 », relève Le Figaro.
Ma conclusion c’est que, comme le disait Finkielkraut sur BFMTV il y a quelques jours, choquant la journaliste au passage parce que c’est politiquement incorrect : on n’a jamais autant puni les violeurs et jamais aussi durement qu’aujourd’hui en France. Il n’y a donc pas de culture du viol qui tienne en France puisque le viol est reconnu et puni comme jamais auparavant.
Cependant, il est vrai que le viol échappe dans certains pays à tout contrôle et toute sanction, mais alors pourquoi venir culpabiliser des honnêtes français qui n’ont jamais fait de mal à une mouche ?
Le harcèlement
Je n’ai pas très envie de revenir sur le sujet du harcèlement de rue que j’ai déjà traité à fond « Féminisme et harcèlement de rue » et « Que penser du débat actuel sur le harcèlement de rue ? ». Alors, allez jeter un œil si ça vous intéresse.
On note l’argument de cette féministe extrémiste : la différence entre drague et harcèlement n’aurait rien à voir avec le physique ou la situation sociale de l’homme.
Mais alors, pourquoi préciser, de manière gratuite, au gars qui partage cet article « tu es laid » ? Peut-être que ce sont seulement les féministes radicales et homosexuelles qui ne sont pas influencées par le physique des hommes… j’essaie de comprendre s’il y a quelque chose à comprendre !
Imaginez si c’était un homme comme Benjamin Bioley qui s’était permis ce geste déplacé : qu’aurait dit le lobby des féministes extrémistes ? Qu’il fallait le virer et retourner l’émission, sans doute…
Les enfants
Seulement 25% des françaises disent préférer travailler plutôt qu’élever leurs enfants. Mais, comme on l’a dit plus haut, les féministes radicales pensent que l’enfant est un fardeau pour la femme. L’allaitement et l’instinct maternel sont d’ailleurs, pour certaines, devenu des maladies honteuses.
Cependant, ne pas avoir d’enfant par praticité économique et jouissive me semble constituer une étape importante vers l’immaturité et le refus des responsabilités et de la nature. Demandons-nous alors qui a intérêt à encourager les femmes à être immatures et aller contre la nature.
On note tout de même que 40% des enfants de famille divorcées ne maintiennent pas de liens avec le parent n’ayant pas eu la garde, souvent le père. On est vraiment en droit de se demander quel sexe souffre le plus de cette idéologie, finalement, et quel sexe est réellement favorisé par la justice.
Les différences salariales
Puisque les femmes veulent, quoi qu’en disent les féministes extrémistes, accorder plus de temps à leurs enfants, elles sont prêtes à renoncer à une partie de leurs revenus. A partir de là, les comparaisons de salaires entre hommes et femmes sont biaisées.
En France, on entend souvent que la différence de salaires hommes-femmes est de 25 à 30% du salaire brut. Sauf que si on élimine les choix de carrière et qu’on aligne les temps de travail, l’écart devient marginal (entre 2 à 8%).
Il peut s’expliquer par le fait que les hommes négocient davantage leur salaire ou parce qu’ils ont une productivité supérieure, comme le montre une étude de l’Insee que vous pouvez trouver sur le net.
Du coup, les féministes extrémistes militent pour que les femmes gagnent autant que les hommes en travaillant moins, sans négocier ou en ayant un poste moins important, ce qui revient à vouloir gagner plus. C’est ça, l’égalité ? Quand on commence un combat, autant se renseigner sur tous les paramètres avant de crier à l’injustice.
Evidemment, il existe toujours des exemples injustes, si on va chercher au cas par cas. Mais, à ce compte-là, que fait-on pour les acteurs pornos, les hommes mannequins et les prostitués qui sont en moyenne moins bien payés que leurs collègues de sexe féminin ? On dira que justice est rendue ? Qu’ils paient pour les autres ?
La discrimination positive
Il existe davantage de garçons surdoués que de filles surdouées. Encore un tabou monstrueux ! Mais la vérité c’est que l’excellence et la médiocrité sont plutôt masculine tandis que les filles sont plus nombreuses autour de la moyenne.
J’en veux pour preuve les résultats du bac : 44% des garçons admis pour 56% de filles. Seulement 43% de garçons ont mention assez bien contre 57% de filles. Mais 59% de garçons ont mention bien contre 41% de filles. Et 61% de garçons ont mention très bien contre 39% de filles en 2017.
Alors, on a avancé la discrimination positive, au nom de l’égalité.
Au lieu de mettre les personnes les plus compétentes à chaque poste, on s’oblige à mettre autant d’hommes que de femmes, par exemple sous le gouvernement Hollande. Ce qui veut dire qu’une femme nommée à un poste prenait peut-être la place d’un homme plus compétent. Devoir sa place à un quota, plus qu’à un talent, c’est chaud ! C’est là que les femmes devraient crier au scandale : être nommées parce que ce sont des femmes, et non parce que ce sont des personnes compétentes.. elle est là, la discrimination ! Et elle n’est pas positive.
Rappelons quand même que la constitution européenne a spécifié qu’ « est interdite toute discrimination fondée notamment sur le sexe » (Article II-81). Cependant, elle est revenue en arrière un peu plus tard « le principe de l’égalité n’empêche pas le maintien ou l’adoption de mesures prévoyant des avantages spécifiques en faveur du sexe sous-représenté » (Article II-83). La parité, c’est donc à sens unique.
Mais que fait-on pour les hommes qui meurent 14 ans avant les femmes, qui sont jugés plus sévèrement dans les tribunaux, qui ne peuvent jouer de leurs charmes pour être recrutés, pardonnés ou amnistiés ?
Les combats vains des féministes
Les féministes demandent que l’écriture inclusive soit utilisée à l’école car elles pensent que c’est parce que le masculin l’emporte sur le féminin dans la langue française que les femmes souffrent du patriarcat toute leur vie. Il est vrai qu’au moment où la grammaire a été réécrite, notamment en supprimant la règle d’accord de proximité au profit de la règle « le masculin l’emporte », le discours sous-jacent était assumé machiste. Mais aujourd’hui, cette règle n’est plus porteuse de la moindre connotation, et si je ne m’étais pas documenté, je n’aurais jamais su que des gros machos étaient à l’origine de ces règles grammaticales. Pourquoi ? Parce que cette règle n’est plus porteuse du même sens aujourd’hui. La règle, c’est la règle, on l’applique. Jamais personne n’a réussi à démontrer qu’une règle de grammaire a modifié les constructions psychologiques de quelqu’un.
En parallèle de ce faux débat, j’ai lu un témoignage d’une femme grand couturier qui ne supportait pas d’être qualifiée de « grande couturière ». Un ami m’a rapporté que sa chef, Madame Le Préfet, ne supportait pas être appelée « madame la préfette. » Idem pour le doyen de la fac de lettres de Lyon 3, qui vous assène un regard noir si vous l’appelez « doyenne ». Du coup, on peut se demander pourquoi les femmes intelligentes, ou du moins ayant réussi, ne veulent pas de l’écriture inclusive.
Les féministes extrémistes sont un peu désespérantes car elles persistent à se battre pour des choses qui ne changeront jamais leur condition. J’ai trouvé l’exemple de l’attente dans les toilettes pour femmes qui est généralement plus longue que dans les toilettes pour hommes. Est-ce vraiment une inégalité sexiste ? Une des solutions proposées est d’obliger les hommes à pisser assis ou de réduire la taille de leurs toilettes. L’égalité ce serait donc nous mettre des handicaps ? Sur les aires d’autoroute, j’ai vu les toilettes pour femmes plus grandes, c’est une meilleure solution, non ?
Peut-on censément affirmer que si les hommes sont plus grands que les femmes, c’est parce que le patriarcat les prive de nourriture depuis toujours. Les femelles sont plus petites que les mâles chez quasiment toutes les espèces d’animaux, sont-elles toutes victimes du patriarcat ?
Comment les féministes extrémistes peuvent-elles nier que dans les sports de haut niveau, les femmes sont 11,45% moins performantes que les hommes ?
A l’inverse, il y a des sports où l’homme est sous-représenté, et surtout destiné à être moins compétents. La gymnastique rythmique par exemple.
Nous sommes différents, nous ne sommes pas identiques et de ce fait nous ne pouvons prétendre à une égalité, voilà la vérité qui dérange.
La théorie du genre
La théorie du genre souhaite substituer à des catégories de sexe (ce qui renvoie à la biologie), un concept de genre qui montre que les différences entre les hommes et les femmes ne sont pas fondées sur la nature mais sont historiquement construites et socialement reproduites.
Cette théorie du genre explique que les filles s’adonnent à des jeux sages parce qu’on leur impose, qu’elles s’orientent vers des métiers de soins peu qualifiés et moins payés et délaissent les filières scientifiques malgré de bons résultats scolaires à cause de leur conditionnement dans la cour de récré.
Mais cette théorie du genre ne semble pas prendre en compte que la femme n’est pas une chose fragile et influençable, incapable de se remettre en question. Contrairement à nous, les pick-up artists, qui traitons les femmes sans ces fausses croyances… du coup, qui respecte le plus les femmes ?
La théorie du genre n’explique pas non plus pourquoi tant de petits garçons « premiers de la classe » isolés, brimés et battus ont persisté à briller pour réussir scolarité et carrière.
Les stéréotypes
Toutes les études montrent que les stéréotypes les plus courants sont les plus exacts, et que certains, comme ceux qui concernent les différences sexuelles, sont plutôt sous-estimés que surestimés.
Ça ne fait pas plaisir, je suis d’accord… mais la réalité n’a aucune raison de nous faire plaisir, contrairement à la morale imposée. Morale imposée qui cherche souvent à triompher de la réalité.
La façon dont les parents traitent leurs enfants
En 1966, le médecin John Money, considéré par certains comme le père de la théorie du genre, a été contacté par un couple effondré, les époux Reimer. Ils étaient parents de jumeaux âgés de 8 mois, qu’ils ont voulu faire circoncire.
Malheureusement, la circoncision de David par cautérisation électrique a échoué, son pénis a été brûlé. Du coup, Brian, son jumeau, n’a pas été circoncis.
Money a vu dans cette mésaventure l’occasion de démontrer que le sexe biologique est un leurre, un arbitraire dont l’éducation peut émanciper. Il a donc convaincu les parents d’élever David comme une fille, de ne jamais lui dire (ni dire à son frère) qu’il est né garçon. Le médecin a administré à l’enfant, rebaptisé Brenda, un traitement hormonal et, quatorze mois plus tard, lui a ôté les testicules. Ses parents l’habillaient avec des robes, lui offraient des poupées, etc.
Seulement, Brenda a grandi douloureusement. A l’adolescence, sa voix est devenue grave, elle a confié être attirée par les filles, etc. Brenda a cessé d’avaler son traitement, s’est fait prescrire de la testostérone, est tombé.e dans l’alcoolisme.
Brenda se sentait garçon engoncé dans un corps de fille. Effarés, les parents ont révélé la vérité à leurs jumeaux. Brenda est redevenue David, il s’est marié à une femme. Mais les divagations identitaires ont ébranlé les garçons. En 2002, Brian s’est suicidé. Le 5 mai 2004, David a fait de même. Une fin tragique.
Dans la plupart des cas, néanmoins, de nombreuses études ont montré qu’en moyenne les parents ne traitent pas les garçons et les filles de façon différente. Mais peu importe pour la psychologue Judith Rich Harris qui a dit : « Même si leur mère conduit un camion et que leur père les change, les garçons jouent au foot et les filles sautent à la corde. » Les comportements stéréotypés semblent avoir la vie dure.
Pas de théorie du genre dans la nature
Ce militantisme social est voué à l’échec parce qu’il est contraire à la nature et aux intérêts des hommes et des femmes. Les différences sexuelles se retrouvent chez presque tous les primates et chez presque tous les mammifères.
Un ver de terre mâle a un cerveau différent d’un ver de terre femelle. Chez les humains, les macaques rhésus ou les bovins, le lait maternel diffère selon le sexe de l’enfant. Ces animaux sont-ils victimes de construction sociale ?
La psychologue Valian a fait cette déclaration : « Parmi nos proches parents tel que le macaque rhésus, les chercheurs ont découvert que les femelles jouent avec des poupées bien plus que leurs frères, qui préfèrent, eux, les ballons et les petites voitures. Il paraît peu probable que les singes aient été endoctrinés par des stéréotypes d’un catalogue. »
La double-pensée
La double-pensée est le pouvoir de garder à l’esprit simultanément deux croyances contradictoires et de les accepter toutes les deux.
Du coup, la double-pensée est une sorte de superposition de deux états contradictoires comme cette rébellion conformiste qui anime beaucoup d’artistes. « Je suis un vrai rebelle parce que je dis que ce que je pense »… c’est-à-dire souvent exactement ce que le système veut entendre.
Les Femen
Les Femen sont un bel exemple de double-pensée et on peut se demander si elles ne sont pas des marionnettes du pouvoir.
Lorsque Caroline Fourest a été arrêtée avec ses protégées en cherchant à provoquer un incident lors de la « Manif pour tous », Valls a aussitôt appelé le préfet et François Hollande a adressé dans la foulée un message de soutien à la rebelle.
Les Femen multiplient les provocations mais sont rarement condamnées (en France, hein !)… et quand elles le sont, elles sont soutenues. Encore dernièrement, par notre chère ministre Marlène Schiappa.
De même, les féministes extrémistes demandent la fin du sexisme, mais sont les premières à organiser des manif non-mixtes. Incroyable !
La double-pensée chez les bienpensants
Les défenseurs du régime, qui haïssent l’intolérance et l’inégalité, se mettent souvent à plusieurs pour condamner quelques hommes à la mort sociale.
Ils luttent pour la dignité mais font tout pour détruire salement Soral ou Dieudonné. Ce ne sont que des exemples, y’en a bien d’autres. Le Front National et ses électeurs (33,90% des français tout de même), Poutine, Trump, etc… C’est hyper démocratique et hyper correct de traiter une partie de la population de teubés ou de fous parce qu’ils n’ont pas le même avis que vous. Qu’est-ce qu’on ne fait pas pour être « bien vu » !
Tous les gens pleins de bonnes intentions sont évidemment contre la censure. Mais qui sont les premiers à censurer les autres ?
C’est ce même procédé qui a conduit, si j’ai bien compris, à la fermeture de ma chaîne Youtube et à la désactivation répétée de ma page FB. Liberté, égalité, fraternité ! Comme si j’étais un monstre, sérieux… elles ont repéré ma vidéo car me surveillaient depuis longtemps et ont organisé un raid pour envoyer un maximum de « signalements pour incitation à la haine » à Youtube en un minimum de temps afin que l’algorithme panique et que mon compte soit fermé.
Un « rebelle » très très « intelligent » qui ne combat le féminisme radical que quand ça l’arrange apparemment. A lire entre les lignes : Femmes, aimez-moi SVP !!!
Pourquoi le féminisme est-il plébiscité par les médias ?
L’enseignement du genre est dicté aux médias. « Les formations à la profession de journaliste dispensées par les établissements d’enseignement supérieur comprennent un enseignement sur l’égalité entre les femmes et les hommes et la lutte contre les stéréotypes, les préjugés sexistes, les images dégradantes, les violences faites aux femmes et les violences commises au sein des couples. »
Les journalistes sont donc conditionnés à promouvoir les idées du système : si tu veux avoir ton diplôme de journaliste, tu dois bien apprendre et bien réciter ton cours. Et tu dois donc promouvoir les idées du féminisme extrémiste tout en cachant tout ce qu’il y a à cacher. Comme par exemple ma vidéo buzz où une de ces filles me frappe dans la rue parce que j’ai osé contre-argumenter. Une « liberté » qu’elle ne se serait jamais permis si les médias ne lui avaient pas monté la tête.
Au fait, si vous voulez lire un bon livre sur le sujet, qui vous explique tout ça, jetez un œil à Les petits soldats du journalisme.
Pourquoi le système gagnera
On ne peut attaquer le système, il est inattaquable : il est contre la haine, le sexisme, la guerre, le racisme, etc. Personne ne peut décemment critiquer ces anges que sont ces artistes et journalistes car ils ont la morale pour eux.
Du moins, ils semblent être du côté des « gentils » mais est-ce vrai ? Aucun donneur de leçons célèbre n’a jamais été finalement pris dans un scandale dégueulasse ? Réfléchissez bien.
Pourquoi le système encourage le féminisme extrémiste ?
Le but ultime est peut-être que la technologie occidentale soit mise au service de l’égalisation globale des sexes, en les supprimant biologiquement, pour créer une espèce asexuée.
Le système pourrait alors ensuite réassigner hormonalement tous les individus avant la naissance afin de bloquer tout processus de sexualisation. Il n’y aurait ainsi plus ni femmes ni hommes. Quel progrès !
Mais attention, si on en arrive là, ce serait parce que le système ne veut ni la victoire des hommes ni celle des femmes : il voudrait qu’on s’autodétruise, qu’on disparaisse.
Dans 1984, on pouvait lire « Tous les enfants devraient être procréés par insémination artificielle et élevés dans des institutions publiques. » Est-ce une prophétie ?
Dans Le Meilleur des Mondes, les hommes naissent tous dans des éprouvettes et sont conditionnés dès leur plus jeune âge. Les féministes extrémistes devraient être contentes de constater qu’Huxley a décrit un monde où les femmes ne subissent pas leur grossesse, où les inégalités ne sont pas fondées sur le sexe mais qu’elles sont distribuées arbitrairement, où les femmes jouissent de leur sexualité comme les hommes. Mais bon, au passage, et pour appuyer ce qu’on disait tout à l’heure sur l’évolution : les femmes restent des femmes, et Huxley l’avait bien compris. Quand Lénina se sent mal et prend un succédanée de grossesse parce que son for intérieur lui dit qu’elle a envie de rester avec un seul homme, qu’est-ce que ça démontre selon vous ?
Quoi qu’il en soit, le système souhaite peut-être une société de gens dépendants (malades, drogués, inaptes, bêtes) pour pouvoir les contrôler facilement sous couvert de l’excuse de les satisfaire. Tiens donc, Huxley ne nous donne-t-il pas à voir une société où chacun est à sa place, où le dissident est envoyé très loin, où celui qui commence à réfléchir est conditionné pour se dire que ce n’est pas bien et qu’il doit immédiatement prendre une dose de soma pour s’évader ?
Sérieux, j’ai vraiment l’impression que le système combat la virilité et la féminité, l’autonomie, l’intelligence, le fait de penser par soi-même, la santé et la sobriété.
Le dysgénisme
Comme on l’a dit, les féministes extrémistes encouragent les femmes des classes supérieures à avoir peu ou pas d’enfants. En effet, avoir un enfant serait un fardeau, un frein à leur carrière, etc.
D’un autre côté, le système encourage, avec de plus en plus d’aides malgré la dette de l’état grandissante, les gens des « classes inférieures » à se reproduire davantage.
Alors, attention, je prends des pincettes : on peut penser, même si ce n’est pas une réalité absolue et qu’il y a toujours des exceptions, que plus les gens sont intelligents, plus ils ont de chances d’appartenir au moins à la classe moyenne.
Ce qui veut dire que l’intelligence va se dissoudre puisque les gens intelligents auront en moyenne moins d’enfants. (cf. Idiocracy, qui malgré son côté navet part d’un postulat très bien formulé. Synopsys : La recrue Joe Bauers, l’archétype de l’Américain moyen, est choisi par le Pentagone comme cobaye pour un programme top secret d’hibernation. Oublié, il est réveillé cinq siècles plus tard et découvre une société devenue tellement stupide qu’il est désormais l’homme le plus intelligent de la planète.)
A noter que le documentaire d’Arte « Demain, tous crétins ? » confirme que la population humaine sur Terre est déjà de moins en moins intelligente. Où va-t-on ?
Ça s’appelle le dysgénisme et ça ne concerne pas que le critère de l’intelligence. C’est le contraire de l’eugénisme, cela entraîne une régression des aptitudes de la population globale (santé, caractère, intelligence, etc.) Ca veut dire que les gens seront de plus en plus dégénéré.e.s, ce qui aura, à terme, un impact énorme sur notre société. Si ce n’est pas déjà le cas ?
Le taux de testostérone
Nos savants ont depuis longtemps constaté l’effondrement général du taux de testostérone de nos populations. Un déclin anormalement rapide et brutal. Des études américaines et scandinaves ont montré qu’un homme né dans les années 1970 avait un taux de testostérone 20% plus bas que celui de son père au même âge.
Or, la testostérone a un rôle important, elle est notamment lié à la volonté de dominance, au nombre d’enfants, à la confiance en soi, à la libido, aux performances intellectuelles…
Les causes de ce déclin ? Le stress de la vie en ville, le manque de soleil à cause d’un travail d’intérieur, les perturbateurs endocriniens, le manque de sommeil et d’activité physique, l’alcool, la drogue, les pesticides, la merde que l’on bouffe, le sucre, la télé, les jeux vidéo, les films violents…
Résultat : nous, les hommes, sommes moins agressifs, supportons mieux la promiscuité et la soumission. Est-ce un but souhaité par le système ?
L’avenir des relations hommes/femmes ?
A vous de voir si vous souhaitez ou non devenir un « progressiste, anti-viril, moraliste par excellence, multipliant les signes physiques et verbaux de soumission, agent servile du système, indigné permanent, mâle bobo, caricatural, dévirilisé à outrance, ultra-consommateur, juvénile, sensible et non-violent » comme le décrit Laurent Obertone dans La France Big Brother.
Il continue avec sa verve : « Cette violence symbolique, cette féminisation est particulièrement valorisée par les médias, de l’ambigüité sexuelle aux individus efféminés, sans parler des chanteuses à barbe. »
Et si la gent féminine s’enthousiasme pour de tels modèles, on est foutus, le système gagne.
Je vous conseille d’ailleurs vivement de livre les ouvrages de Laurent Obertone, qui a été tant décrié pour jeter des vérités douloureuses au visage du lecteur. Il m’a beaucoup inspiré.
Dites-moi dans les commentaires si vous avez des idées combattre notre avilissement voire notre asservissement…
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