Article sur la prostitution. Faut-il aller voir des prostituées ? Faut-il aller aux putes ? Qu’est-ce que je pense de ceux qui vont aux putes ? Qu’est-ce qui peut pousser à payer pour du sexe ? Faut-il en avoir honte si vous l’avez déjà fait ? Est-ce mal d’aller voir des prostituées ? Mon avis sur les escort-girls et autres call-girls…
C’est parti pour cet article putaclic !
Faut-il aller aux putes : Introduction
Un lecteur m’a écrit qu’il trouve que, le game, c’est vraiment trop compliqué ! Il m’a donc demandé : « pourquoi se casser la tête et ne pas juste aller voir des putes ? » C’est une bonne question.
D’autant qu’elle est remise d’actualité par une partie du Youtube Game comme Jean-Marie Cordaro qui « incite » les gens à aller aux putes en dénigrant la séduction sur sa chaîne. Il me semble même qu’il va jusqu’à se vanter d’avoir testé toutes les meufs du bordel en bas de chez lui.
Il en fait un « truc cool » pour certains, et c’est vrai que ça peut être rigolo d’en parler comme ça, mais ne mesure pas l’influence qu’il peut avoir, notamment sur les plus jeunes, je pense.
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1/ Le game est un investissement
La première chose à comprendre c’est que, si on va voir des putes, c’est pour baiser. Alors que si on apprend le game : c’est pour baiser, s’améliorer ET avoir une super copine.
Quand on sait qu’une heure de baise (montre en main) coûte environ 50€ (avec une « pute » de camion mais sinon c’est 200 euros en moyenne avec une escort-girl), l’achat du moindre ebook de game vous permettant de chopper des meufs est vite rentabilisé. Le game est donc un INVESTISSEMENT alors que la pute est une dépense somptuaire.
Actuellement, si j’ai envie de baiser une nana : ça ne me coûte absolument rien. Je ne paie en général même pas de verre ni rien puisque je les fais venir directement chez moi et qu’elles amènent une bouteille.
Et quand bien même je paierais un verre à 5 euros, c’est quand même beaucoup moins cher.
2/ On ne peut pas les embrasser
N’oublions pas qu’on ne peut pas embrasser une prostituée. Alors que les filles que l’on drague grâce au game, si !
Il y a plein de choses que l’on ne peut pas faire à une pute mais que l’on peut faire à une fille lambda draguée dans un bar, dans la rue ou sur Internet. On a donc une bien plus grande liberté d’action quand on ne paie pas ses rapports… et, en plus, on évite le risque de se faire péter la gueule par le mac (le gars qui maltraite la pute et lui prend quasiment tout son argent – je refuse d’encourager ce type de commerce).
Sachant que, des fois, il y a des gars qui m’ont raconté être allés aux putes et qu’il y avait une autre personne dans l’appartement. Bonjour l’angoisse !
Ah ouais, et on parle de la pipe avec capote ? Une pipe de call-girl n’est généralement pas une fellation nature donc, franchement, je trouve que ça enlève beaucoup de charme.
3/ On ne se sent pas vraiment désirés
Parce qu’on les paie, on ne ressent pas ce que ça fait d’être vraiment désiré. Orelsan résume bien la situation : « peu importe ce qu’elle fait avec ses mains, elle en a rien à branler. » Du coup, certes, cela assouvit un besoin basique mais je ne pense pas que ça fasse réellement du bien au moral. Se taper une nana qui ne se souviendra pas de nous le lendemain, ça n’a rien de flatteur, selon moi.
Certains mecs vont voir des prostituées pour discuter ou autre. C’est une autre affaire mais il y a des psys pour ça.
4/ C’est beaucoup moins grisant : c’est gagné d’avance
On ne ressent pas non plus le petit stress de l’incertitude : est-ce qu’elle va me mettre un râteau au dernier moment ? Est-ce qu’elle va me laisser lui faire des choses qu’aucun mec ne lui a faites avant ? Est-ce que je vais être un des seuls dans sa vie à la faire jouir comme une folle ? « C’est plus fort que moi, j’veux toujours qu’elles m’trouvent spécial. »
En plus, on est pas vraiment naturel avec une prostituée, généralement, quand on est un gentil gars, on ne sait pas trop comment se comporter avec une pute.
5/ Un risque de MST accru
L’avantage des prostituées c’est qu’elles ne prennent pas la tête, contrairement à une petite amie un peu hystérique. Pas de crises de nerfs, pas de caprices, etc. 50€ est donc le prix de la tranquillité d’esprit, de ce point de vue.
Mais il y a toujours la possibilité que la capote craque ou ne nous protège pas (ce n’est pas fiable à 100%). Il y a aussi des maladies qui se transmettent malgré le préservatif (frottement de peau). En allant voir une pute, on a donc plus de « chances » de chopper une IST, de l’herpès ou n’importe quelle merde sexuellement transmissible. On n’en sort donc pas si serein à ce niveau-là.
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J’ai un pote qui se tapait régulièrement des putes en Argentine. Un beau jour, la capote a craqué, il a paniqué. Il a dû raconter la situation à sa mère et elle lui a ordonné de prendre l’avion pour venir faire une trithérapie en France ! C’est quand même une sacrée histoire de loose !
6/ On est obligés d’y mettre une capote
En plus, on doit toujours les baiser avec des capotes (qui seront comptabilisées par un mac). Alors que si on développe une relation avec une nana sympa qui prend la pilule ou une autre forme de contraception (et qu’on a fait des tests), on pourra sentir directement la chaleur de sa chatte autour de notre queue. Ce qui n’a pas de prix.
7/ On n’y est pas le prix
Ce n’est pas un état d’esprit très alpha que de vouloir faire la queue (attendre son tour) dans le but de payer une femme pour la baiser. Un mâle alpha est, au contraire, censé être le prix dans l’interaction. Cette logique me semble donc contre-nature. « J’fais tout l’travail, c’est elles qui devraient m’payer ! »
Y’a des gars qui pensent que des putes baisent forcément bien. Mais ce n’est pas vrai dans tous les cas. C’est comme penser que les acteurs porno sont tous des bons coups, c’est une croyance populaire qui est un fantasme en fait.
Attention au risque de déception !
Risque de déception aussi vis-à-vis des annonces des escorts sur les sites : souvent elles ont plus de boutons, plus de cellulite, les phots datent de plusieurs années, mentent sur leur âge, etc.
8/ Elles ne sont pas toutes jolies
Il y a des prostituées qui sont classes et jolies, mais ce ne sont pas les moins chères. Alors, si je peux avoir mieux, je n’ai pas envie de payer pour mettre ma queue dans une petite grosse poilue qui sent le foutre et qui parle à peine français (et qui en plus a de grandes chances d’être maltraitée ou forcée à faire ça par un sale type qui prendra l’argent).
Comme on l’a dit, les escort-girls un peu canons et françaises (genre celles qui font ça « pour le plaisir » ou « occasionnellement » pour faire chier papa ou pour combler un besoin pervers) ne sont pas les moins chères. Dans les 200€ !
9/ L’environnement est malsain
Si c’est pour aller voir des putes bon marché, qui sentent la transpiration et qui n’ont pas lavé leurs draps souillés par le sperme de tous les clients de la journée, non merci ! Tout ça pour se faire une meuf impassible et stoïque ou une folle qui simule… Putain, le game est censé empêcher les mecs d’être des morts de faim ! On pourrait dire que, les putes c’est pour les désespérés, alors que le game c’est pour ceux qui ont encore de l’espoir et de la volonté.
Dans les faits, ce n’est pas toujours pour les désespérés ou pour les losers. Il y a des mecs « mariés » qui y vont pour la discrétion. Des mecs âgés qui veulent se rappeler du goût de la jeunesse… des hommes d’affaire de passage dans la région pour s’occuper, etc. Je veux dire par là que les prostituées ou les escorts peuvent tomber sur des gars beaux et successful.
Y’a aussi un autre truc dont je veux parler c’est que des fois, on se tape des michtos sans le savoir. Ce sont des formes de putes déguisées ou de nanas qui cherchent des sugars daddies. Et dans le monde libertin, beaucoup de nanas jouent à faire la « pute », elles ne se font pas payer mais se bang-banger ou blow-banger. Sans parler des actrices X, des masseuses érotiques/naturistes…
10/ La thérapie par le sexe
Comme dit Gringe, « les putes c’est comme une séance chez le psy ». Et même mieux : parce qu’elles écoutent et sucent. Mais bon, le game aussi est une forme de thérapie alors, si on suit cette logique. Et c’est bien plus profond parce que les relations y sont beaucoup plus sincères car désintéressées. Aussi, cela comble davantage notre besoin d’affection.
Du coup, faut-il avoir honte si vous y êtes déjà allé ? Non, des gens bien y sont déjà allés. Ca ne sert à rien de regretter, d’ailleurs. Après, je pense que ça peut être une expérience à faire pour le délire une fois dans sa vie, je ne vous jugerai pas pour ça (mais je n’encourage pas). Il y a des mecs « handicapés » physiquement à qui ça fait du bien (même si je pense qu’un handicapé peut séduire quand même enfin tout dépend du handicap). Il y a des mecs qui y sont allés pour se dépuceler, ça se faisait beaucoup dans l’ancien temps.
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En plus, l’échange sexe-ressources c’est quand même un basique instinctif dans l’histoire de l’humanité.
J’ai des clients qui sont allés chez les putes des dizaines de fois et qui finalement se sont formés au game et ont trouvé ça moins risqué, plus rentable et plus satisfaisant au final. Mais ça demande un petit effort…
Gardez enfin un tête un point très important en tête : c’est ILLEGAL. En tant que client, vous êtes dans l’illégalité en France. (Pas dans plusieurs pays frontaliers par contre). Celles qui racolent aussi.
J’espère que vous avez apprécié ce pour ou contre aller chez les putes.
Conclusion sur faut-il aller voir des prostituées ?
Pour l’anecdote, mon frère est allé une fois chez les putes de Figueras, en Espagne. Il paraît qu’elles étaient très sexy, et que l’hygiène était respectée. Il en a gardé un bon souvenir, mais bon, il ne se tapait pas de bonnasses habituellement. A Amsterdam aussi, il paraît que c’est pas trop mal, les putes dans les vitrines. Une copine y a même fait un trio avec son ex.
Ça peut être une expérience enrichissante à faire, d’aller aux putes, une fois dans sa vie. Je le ferai peut-être, si j’ai l’occasion que ça se fasse dans de bonnes conditions et avec une fille qui travaille pour elle-même, dans un pays où c’est légal. La meuf prendra tellement cher qu’elle comprendra pourquoi on parle de sexe tarifé ! Après tout, c’est le plus vieux métier du monde, faut le respecter.
D’ailleurs, avant, les hommes jeunes étaient initiés au sexe par une prostituée expérimentée. C’était socialement admis. Ce que je critique vraiment ici, c’est d’en faire une habitude, pas le fait d’y aller une fois ou deux pour le fun. Ce que je remets en question : c’est de préférer payer pour aller aux putes plutôt que de travailler son game pour séduire plus de femmes, et des plus sexy.
Il y’a, ceci dit, des riches qui en engagent régulièrement des call-girls (ou des putes de luxe) et qui se les tapent. Après tout, si elles sont belles, expérimentées, consentantes, qu’elles n’ont pas 10 clients dans la soirée, et qu’il n’y a pas de mac derrière… pourquoi pas ? Mais bon, il faut y mettre le prix. C’est encore un privilège de riche que de pouvoir jouir dans de la jolie jeunette quand on a 80 ans.
Votre coach en séduction et luxure,
Fabrice Julien
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