Dans cet article, nous allons parler du street pickup (aussi appelé SPU) ! Nous allons voir ce qu’est le street pick up, puis je vous donnerai des conseils pour oser vous lancer en drague de jour, des erreurs à éviter en day game et mon retour d’expérience sur la drague de rue.
A lire aussi sur le street pick up : Comment aborder une fille dans la rue et bien la draguer ?
Définition de street pick up
Le street pick up désigne la drague dans la rue mais aussi par extension le day game (dans un centre commercial, à un arrêt de bus, bref, dans la vie de tous les jours).
En fait, à la base c’est la drague dans la rue mais si on drague une fille la journée dans un lieu public, on va souvent parler de SPU.
Ce que je veux dire c’est que c’est une façon pour parler de la drague de rue le jour même si en fait c’est un peu plus compliqué que ça et un peu plus confus dans les faits. Donc restons sur cette définition simple « SPU = drague de rue ».
Après, je vous vois venir : il ne faut pas confondre drague de rue et harcèlement de rue. Perso, je ne conseille jamais à mes coachés d’être irrespectueux ou lourds. On aborde avec respect et courtoisie. On ne traite pas les femmes comme des objets ou comme des numéros (même si on peut « faire du chiffre »).
N’en déplaise à certaines qui ont les idées arrêtées : il y a aborder et agresser. C’est deux choses différentes. Perso, je trouve la SPU souvent moins lourde et intrusive que les mecs qui nous arrêtent dans la rue pour demander des dons pour des associations.
La drague de rue, c’est un « sport » difficile mais enivrant. Je trouve aussi très poétique cette idée que deux inconnus puissent se rencontrer de cette façon et tomber amoureux. Y’a des filles qui rêvent que ça leur arrive aussi !
Quoi qu’il en soit, c’est un super complément à la drague en ligne sur les sites et applis de rencontre.
Définition de day game
La traduction de day game serait drague de jour, littéralement.
Par opposition à night game, night pick up (NPU) et online dating même si tout cela peut se faire le jour aussi.
Il y a aussi le cercle social qui peut être une bonne façon de rencontrer des femmes.
Le SPU est une forme de DG mais peut se pratiquer la nuit aussi. Mais généralement, la nuit, on l’associe à de la NPU et le jour à du daygame.
(Attention : DG peut aussi désigner direct game, ce qui signifie aborder une femme en étant clair sur ses intentions).
C’est compliqué, je sais… mais tout ça c’est que du jargon. Ce qui est important c’est les pouvoirs que cela recèle. Il y a des gens que les anglicismes rebutent, je pense que c’est plutôt une façon cool d’exprimer des notions complexes avec un seul mot.)
Définition de sarger
La sarge, ou « aller sarger », est un terme qui désigne la séduction, ou plutôt la « drague ». Ça s’approcher de « aller séduire des meufs » ou « aller draguer des femmes ».
C’est un code de la communauté de la séduction que l’on utilise en hommage au chat nommé Sargy de Ross Jeffries, le fondateur.
Street pick up : de la théorie à la pratique
Passez de la théorie à la pratique !
Tant que vous ne pratiquez pas, la théorie ne vous sert absolument à rien.
En même temps, je sais que le fait de lire beaucoup de théorie a un côté rassurant qui fait qu’on croit savoir, et qu’on pense qu’on le mettra en pratique plus tard.
C’est bien sûr trompeur ! C’est mieux de savoir que de ne pas savoir, bien sûr. Mais il faut absolument passer à l’action !
Si vous ne pratiquez pas alors que vous savez que vous devez, si vous avez peur de l’approche alors que vous avez compris qu’il n’y a rien à craindre, c’est que vous faites de la résistance au changement. Par analogie avec le phénomène physique, l’hystérésis, ou l’hystérèse, désigne la persistance d’un phénomène alors que sa cause principale a disparu.
Pour passer à l’action, je vous conseille de lister toutes les raisons qui font que vous êtes insatisfait de vos résultats et de votre vie aujourd’hui. Vous devez comprendre que ce changement est nécessaire !!!
A lire aussi pour aller plus loin : Le changement : comment changer, se reprogrammer, passer à l’action et atteindre ses objectifs ?
5 causes directes qui vous empêchent d’agir
1/ La confiance en soi et l’estime de soi
Vous n’avez pas confiance en vous parce que vous ne pensez pas qu’une fille pourrait s’intéresser à vous. Vous êtes trop humble/modeste/effacé.
A lire pour vous soigner : Estime de soi : comment avoir plus confiance en vous et passer à l’action ?
Vous n’avez pas confiance en vous parce que vous êtes complexé physiquement.
A lire pour vous soigner : Complexes masculins et préférences féminines
Vous n’avez pas confiance en vous parce que vous ne savez pas quoi dire et que vous mettez trop d’enjeu sur les approches. Vous vivez la peur du rejet. C’est l’anxiété d’approche !
A lire pour vous soigner : 3 phrases d’approche qui marchent à chaque fois
2/ La pression sociale
Vous n’avez pas confiance en vous parce que vous avez peur du regard des autres et de comment ils pourraient réagir. Vous pouvez aussi avoir peur de ce que vont penser vos amis de vous (surtout si ça ne se passe pas comme souhaité).
A lire pour vous soigner :
– Peur du rejet : comment vaincre la peur de ne pas plaire en séduction ?
– La peur de l’inconnue, la peur de l’échec et la peur de réussir en séduction
3/ Les croyances limitantes
Vous avez des croyances limitantes. Vous pensez que ce n’est pas possible que cela fonctionne. Ou pas comme ça.
A lire pour vous soigner : Croyances limitantes en séduction : comment les remplacer par des pensées aidantes ?
4/ Vous êtes impressionné par la beauté des femmes
Vous êtes trop focalisé sur vous et pas assez sur elle. Vous êtes trop émotionnellement affecté par son physique, ce qui vous rend incapable d’être détaché, et normal dans l’interaction.
A lire pour vous soigner : Jolie fille sexy : Comment ne pas perdre vos moyens ?
5/ Manque d’options
Vous n’avez pas suffisamment de choix. Une fille vous a témoigné un peu d’intérêt et vous ne pensez pas pouvoir avoir d’autres options, ce qui vous rend dépendant et vous empêche d’avoir une attitude séduisante. Vous vous reposez aussi peut-être sur vos lauriers en vous disant ce genre de conneries « bon il y a cette fille à qui je parle sur Adopteunmec donc je n’ai pas besoin d’aller draguer dans la rue ».
A lire pour vous soigner : Multiplier les opportunités de pécho ?
Les erreurs en SPU
La zone de confort et les excuses
La première erreur serait de ne pas chercher à étendre votre zone de confort.
Y’a des gens qui ont besoin d’alcool pour oser aller draguer. Je ne pense pas qu’un mec bourré soit ce qu’il y a de plus attirant. Essayez de pouvoir aborder sans être saoul. Genre un verre maximum c’est bien !
Y’a des mecs qui sont passés maîtres dans l’art de se trouver des excuses genre « je la retrouverai sur FB donc je ne l’aborde pas maintenant ». Dans les faits, on la retrouve rarement sur Facebook et en plus cela n’a pas le même impact de l’approcher en vrai que de lui demander son FB plutôt que de l’ajouter directement en l’ayant stalkée préalablement !
Autres excuses : les filles sont toujours « trop vieilles, trop jeunes, trop accompagnées, pas assez intéressantes » pour vous ? Le problème vient alors de vous, je vous assure. Une fois je veux bien mais si c’est tout le temps, non ! Retrouve vos couilles et approchez des femmes !
Les filles seules qui déambulent dans la rue en flânant sont sans doute les targets (cible : fille qu’on aimerait bien pécho) les plus faciles.
Le concours de bite
Y’a des gars qui passent leur temps à compter leur taux de réussite sur abordage. Ils sont experts en statistiques.
Ça n’a aucun sens : déjà quand vous abordez en ayant reçu une invitation à l’approche ou non, ça change tout. Genre si la fille vous a regardé avant, y’a plus de chances que ça marche qu’avec une approche totalement à froid ! Vous vous en rendez bien compte…
Ne vous empêchez pas de tenter des approches sorties de nulle part pour autant, juste, ne vous cassez pas la tête à faire des concours de bite avec vos potes sur qui aura le plus gros taux de réussite. L’important c’est juste de trouver une ou plusieurs filles à son goût à la fin de la journée !
Y’a des jours où tout fonctionne et d’autres où c’est plus compliqué.
Après, vous pouvez mesurer avec quel genre de phrase d’approche ou dans quel type d’endroit et à quelle heure vous avez le plus de succès (grande rue, petite rue, métro, matin, soir, midi…)
Pas de compliment sur le physique
Nous allons parler des openers ci-dessous mais je vous conseille de ne pas complimenter la fille sur un truc comme son physique pur car elle n’a rien fait pour l’avoir.
Complimentez-la plutôt sur quelque chose qui semblent lui tenir à cœur ou, en tout cas, pour lequel elle a fait un effort. Comme par exemple, un détail de sa tenue.
Les openers en street pick up
Les familles d’openers
Il existe trois grandes familles d’openers (phrases d’approche).
Le direct : « salut, j’t’ai vue passer, t’avais l’air cool alors j’ai eu envie de venir te parler. T’es pas de Lyon toi si ? »
Faire des suppositions à la fin de l’open c’est cool car ça permet de lui faciliter le fait de répondre. « T’es pas de Lyon toi, si ? »
« Salut ça va ? [micro-pause] Non non on se connaît pas mais bonjour quand même ! En fait j’ai adoré ton look et je suis venu te voir avant que tu disparaisses pour toujours… »
L’indirect : « salut, je cherche une idée de cadeau pour ma meilleure amie, tu peux me donner ton avis ? »
Et le situationnel-contextuel qui va être un truc humoristique lié au contexte ou une observation sur le situation. C’est là que vos talents d’improvisation seront utiles !
Pour moi les meilleures approches sont le contextuel et le direct. Je ne suis pas trop fan de l’indirect ou de demander l’opinion de filles sur un truc avant de les draguer.
« Oh c’est marrant on est voisins de table 🙂 »
« Ohhh c’est marrant, tu as des yeux assortis à ton t-shirt 😉 »
Un dernier conseil sur ce point : oubliez définitivement les phrases d’approches à la Sélim en mode « salut, tu ne me trouves pas trop gros avec ce stylo? »
La règle des 3 secondes
La règle des trois secondes consiste en aborder une fille dans les 3 secondes où vous la voyez. Commencez à marcher vers elle, ça vous évitera de vous inventer des excuses pour ne pas y aller ! Si vous trouvez un truc contextuel à dire, dites-le, sinon restez sur la phrase d’approche directe que je vous ai donnée plus haut.
Les contraintes de temps
Avec une contrainte de temps : pour éviter que la fille ne pense que vous allez rester une plombe à la saouler, dites un truc du genre « salut, je te prends 1mn de ton temps ».
Le problème de faire genre qu’on est pressé c’est que ça nous empêche d’aller en rendez-vous direct avec la fille après. Donc dites plutôt un truc du genre « j’étais avec des amis avant et là je rentrais chez moi quand je t’ai vue passer… » plutôt que « je suis pressé je dois aller rejoindre des amis ».
N’hésitez pas à screener un peu la logistique de la fille et ce qu’elle fait elle, histoire de voir si vous allez proposer de prendre son numéro ou de prendre un verre ensemble.
Parfois elles nous font la conversation pendant 1h puis « désolée, je dois rentrer faire à manger pour mon mec« . Donc pour éviter cela, sexualisez un peu.
L’effet de groupe
Sur les groupes de deux filles, vous pouvez y aller avec un wingman.
Si vous n’êtes pas chaud pour vous motiver à aborder seul, faites une session avec un ou plusieurs potes dans le but d’aborder. Motivez-vous mutuellement ! C’est très efficace !
Quand elle dit non
Parfois, la fille dit oui et parfois elle dit non. Parfois elle dit oui alors qu’elle pense non et parfois elle dit non alors qu’elle pense oui.
Des fois, les filles ne nous regardent même pas avant de nous envoyer bouler donc on peut persévérer un peu. Parfois, elle dit « j’ai un copain » puis si on insiste un peu « ça se passe mal avec lui » ou « c’est pas vrai j’ai dit ça pour éloigner les faibles ». (Vous, ne parlez jamais d’unéventuel copain le premier).
Vous devez parvenir à persévérer quand c’est nécessaire mais pas insister quand ce serait lourd. Il faut différencier objection de refus.
Parfois les filles nous font passer des tests de persévérances car elles ne veulent pas passer pour des filles faciles. On parle de ASD (anti-slut defense) dans la communauté de la séduction.
Moi aussi j’aimerais que oui veuille toujours dire oui et que non veuille toujours dire non. Mais malheureusement… ce n’est pas aussi simple dans la vraie vie ! Juste ne soyez pas un lourd, un agresseur ou un harceleur.
Si vous prenez un râteau, partez avec le sourire car tout « non » vous rapproche d’un « oui » !
A lire aussi : Comment réagir en cas de râteau ?
Les filles que l’on rencontre
Vous vous doutez bien que si vous tombez sur une meuf qui écrit sur Madmoizelle, ça risque de moins bien se passer que si vous tombez sur une rêveuse poète qui attend le prince charmant ou qui est en chaleur et a envie de baiser sur le champ !
Les femmes se ressemblent autant que les mecs se ressemblent : on trouve de tout et nous on cherche les pépites…
Les techniques à connaître pour réussir en street pick up
L’idée c’est bien sûr de rester soi-même pour attirer des filles qui nous correspondent mais il existent des techniques qui aident à passer à l’action et à se mettre en valeur.
Soyez positif avec les meufs, même si vous avez essuyé une série d’échecs avant. Si vous sentez que vous devenez agressif ou que vous entrez dans une mauvaise énergie, faites une pause !
Passez les shit-tests et autres bitch shields. Du genre « tu dis ça à toutes les filles ? » Vous pouvez lui répondre avec humour, en montrant de l’intelligence sociale.
A lire pour travailler ce point :
– Comprendre et réussir les shit-tests
– Bitch shield : comment contrer les tests des femmes sur les hommes
Pour faire la conversation, c’est bien d’acquérir quelques notions d’improvisation. Quelques techniques de communication et de persuasion aident aussi à orienter dans la direction où le souhaite.
Créez du lien par exemple « toi aussi tu habites le quartier ? » ou « toi aussi tu faisais les magasins ? »
Certains font plutôt adeptes de routines : une histoire, une blague, ou toute autre petite histoire qu’ils ressortent fréquemment histoire d’orienter la suite du rendez-vous ou de la rencontre ou pour communiquer de la valeur à la fille.
Votre langage corporel et votre look sont à travailler car les meufs nous screen quand on les approche et les premières secondes, la première impression, c’est primordial !
Osez la regarder dans les yeux ! L’eye contact est une technique à maîtriser !
Sourire c’est bien pour montrer qu’on n’est pas une menace. Mais ne souriez pas avec excès non plus, ça fait guignol.
Lui serrer la main au moment où vous échangez vos prénoms c’est top. Les kinos, les touchers, ça permet de créer un lien ! (Si elle vous demande votre prénom, c’est un signe d’intérêt !)
Quel est le but du SPU ?
Un close (conclure) ou juste de passer un bon moment et de rendre la fille heureuse parce qu’elle s’est faite draguer.
Il y a des nanas en couple qui ne se sentent plus désirées et à qui ça fait un bien fou de se faire aborder, même si ça ne va pas plus loin !
Après ça peut aller plus loin : on peut prendre un numéro de téléphone, ou un réseau social (Facebook, Instagram) pour les plus frileuses. On peut aussi faire un instant date c’est-à-dire aller boire un verre dans la foulée de la rencontre.
On peut aussi faire un kiss close (embrasser la fille) ou un fuck close (coucher avec elle dans la foulée, ça c’est l’instant fuck close, le saint Graal du dragueur de rue) !
Il ne s’agit pas de manipuler ou d’arnaquer les filles que l’on drague. On peut faire des rencontres géniales et magiques comme ça. Et en faire faire aussi aux nanas !
Et puis, c’est grisant et c’est formateur. C’est pas tout le monde qui peut dire qu’il sait faire de la SPU.
Mon retour d’expérience
On trouve de tout sur le field (sur le terrain)
Au niveau des réactions des meufs, j’ai vu le pire et le meilleur : des filles géniales, belles, intelligentes et peu draguées (présentes sur aucun réseau social). Je me suis aussi fait snobber, insulter et même une fois frapper par des nanas un peu tarées.
Dans la pratique on s’aperçoit que même des approches moyennes fonctionnent parfois sur des bombes. Et parfois même des super approches ne marchent pas sur des nanas pas ouf.
Perso, j’enseigne comment faire des approches propres et ça suffit. Je vois trop de gars en faire une « science exacte » alors que ça n’en est pas une. C’est de l’humain !
Mes résultats en street
Des souvenirs de ouf. Quelques rencontres magiques. Beaucoup d’heures passées à battre le pavé pour rien aussi. C’est clairement pas le terrain qui m’a fait le plus baiser mais il me donne de la satisfaction.
C’est très formateur
La drague de rue c’est très formateur, ça fait grandir… c’est peut-être la forme de drague la moins « confortable » car c’est en réel contrairement aux applis, c’est de jour et dans un contexte où « ça ne se fait pas forcément » contrairement aux boîtes…
Le street pick up en société
C’est bien vu de s’en moquer dans la société et ça me fait de la peine parce que ça n’a rien à voir avec le harcèlement en fait. Et c’est pas non plus un truc de loser. Il faut des grosses couilles pour faire ça bien. Bien sûr, si on pense au petit con qui siffle les nanas moins j’appelle pas ça un player ^^
Il faut différencier les gros vulgaires qui font ça n’importe comment des gars qui pratiquent le game proprement.
Je trouve que les mecs idéalisent trop la SPU. Ils croient qu’il n’y a que des belles meufs et qu’elles sont plus sympas que sur les sites et applis. Le fait est qu’il y a le pire et le meilleur, comme sur les applis.
Les gens pensent aussi que leurs grands-parents se draguaient comme ça et que c’est super romantique et tout. Perso je trouve ça super romantique aussi mais je pense que c’est une idée reçue que nos ancêtres se draguaient comme ça. Ça devait arriver… mais pas toujours.
Références extérieures au street pick up
Un poème ? A une passante de Charles Baudelaire
La rue assourdissante autour de moi hurlait.
Longue, mince, en grand deuil, douleur majestueuse,
Une femme passa, d’une main fastueuse
Soulevant, balançant le feston et l’ourlet;
Agile et noble, avec sa jambe de statue.
Moi, je buvais, crispé comme un extravagant,
Dans son oeil, ciel livide où germe l’ouragan,
La douceur qui fascine et le plaisir qui tue.
Un éclair… puis la nuit! – Fugitive beauté
Dont le regard m’a fait soudainement renaître,
Ne te verrai-je plus que dans l’éternité?
Ailleurs, bien loin d’ici! trop tard! jamais peut-être!
Car j’ignore où tu fuis, tu ne sais où je vais,
O toi que j’eusse aimée, ô toi qui le savais!
Un film sur la drague de rue ?
Confession d’un dragueur (ou encore plus récent Je la rencontrerai.)
A voir aussi : 15 films à voir absolument sur la séduction
Une chanson ? Dommage de Big flo et Oli
Louis prend son bus, comme tous les matins
Il croisa cette même fille, avec son doux parfum
Qu’elle vienne lui parler, il espère tous les jours
Ce qu’il ressent au fond d’lui, c’est ce qu’on appelle l’amour
Mais Louis, il est timide et elle, elle est si belle
Il ne veux pas y aller, il est collé au fond d’son siège
Une fois elle lui a souri quand elle est descendue
Et depuis ce jour là, il ne l’a jamais revue
Ah il aurait du y aller, il aurait du le faire, crois-moi
On a tous dit « ah c’est dommage, ah c’est dommage, c’est p’t’être la dernière fois »
Un livre sur le SPU ?
Bientôt : mon guide du street pick up ^^
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Votre coach en séduction qui aime bien le street pick up,
Fabrice Julien
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